Mon père fréquentait ce cabaret ou Frédè jouait sur sa guitare . Il m'en parlait avec gourmandise comme "du poulailler "de la Comédie française ou il pouvait pour un prix modique assister "au répertoire du français " comme il disait
"Nous irons au Lapin agile et nous pleurerons notre jeunesse " Blaise Cendras "
A un période de ma vie j'ai vécu dans ce quartier .Me voila revenue , jeunesse passée mais toujours envie de profiter de ce quartier !
"Nous irons au Lapin agile et nous pleurerons notre jeunesse " Blaise Cendras "
A un période de ma vie j'ai vécu dans ce quartier .Me voila revenue , jeunesse passée mais toujours envie de profiter de ce quartier !
"Au deux moulins " rue Lepic l'expresso à 1 euro vous donne accès à plusieurs titres de presse chaque jour .
Malgré la disparition des cafés au profit des boutiques franchisées , dans ce quartier il reste un peu de l'âme des poètes : Bruand , Carco , Caussimon font la pige aux pinceaux des plus grands , Picasso en tête .
Ce matin à Pigalle , un papa montrait à son enfant des seins en caoutchouc ou latex dans une vitrine " tu reconnais les seins de maman ?" disait-il à son bébé . Quand je vous disais que les poètes n'étaient pas loin dans ce quartier !
2 commentaires:
Au moins un papa qui n'oublie aucun domaine dans l'éducation qu'il doit à son enfant !
Moi je ne l'aurais pas dit, mais mon fils à son fils lui tient souvent ce langage. Un jour il l'a surpris sur internet entrain de "zieuter" les femmes en tenue légère (10 ans le môme) Ils ont eu une discussion sur le sujet.
Il se comporte deux fois mieux que je ne l'ai fait avec lui.
Bel après midi !!
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